La barrière de métal est rangée jusqu’à l’été. Déjà les premières marches de l’escalier disparaissent dans la poudreuse. Pour accéder à la Maison, il faut prendre garde à ne pas glisser sur la couche de neige qui, peu à peu, s’accumule. La porte reste ouverte, bien sûr, sur une autre dimension de l’hospitalité. 
Bénédicte Rebord